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Nouvelle destruction de parcelles d’essais de maïs biotechnologique en France

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Paris, France
October 19, 2007

Source:
GNIS : Groupement national interprofessionel des semences et des plants
OLEOSEM : Association de l'industrie des semences de plantes oléagineuses
SEPROMA : Chambre syndicale des entreprises françaises de semences de maïs
UIPP : Union des industries de la protection des plantes

A quelques jours de la phase finale du Grenelle de l’environnement, les militants anti-OGM montrent une nouvelle fois comment ils entendent « participer au dialogue et à la concertation » !

Trois parcelles d’essais de maïs biotechnologiques légalement autorisées ont été détruites dans la nuit du 18 au 19 octobre dans la commune de Valdivienne dans la Vienne (86).

Consternés, les professionnels des semences et de la protection des plantes condamnent avec force ce nouvel acte de vandalisme. Selon eux, cette exaction nocturne souligne sans équivoque possible la façon dont les opposants aux plantes biotechnologiques « participent au dialogue » institué dans le cadre du Grenelle de l’environnement.

Comme l’explique Philippe Gracien, porte-parole des professionnels des semences et de la protection des plantes : « C’est scandaleux ! Cet acharnement guidé par l’idéologie ne peut plus durer ! Il est évident que ces actes de vandalisme n’ont qu’un objectif : porter atteinte au droit fondamental à la recherche. En effet, détruire les essais, c’est détruire la recherche et l’expertise sur les biotechnologies végétales en France. Alors que le Grenelle de l’environnement est présenté comme une opportunité de dialogue objectif, de concertation et de construction pour l’avenir de notre pays, nous constatons avec ulcération que dans leur réalité quotidienne, agriculteurs et chercheurs qui ont fait le choix des biotechnologies végétales sont confrontés à la violence et aux destructions. Nous ne pouvons plus tolérer qu’en France, les chercheurs qui ont encore le courage de pratiquer leur discipline sur notre territoire ne puissent valider leurs résultats parce qu’une poignée d’extrémistes en a décidé autrement. Nous attendons du Gouvernement que celui-ci identifie et condamne fermement les auteurs de ces actes de vandalisme. »

 

 

 

 

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