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Schweizerisches Bundesamt für Umwelt bewilligt drei Freisetzungsversuche mit gentechnisch veränderten Organismen der Universität Zürich und der ETH Zürich unter strengen Auflagen
L'Office fédéral de l'environnement (OFEV) autorise, sous certaines conditions très strictes, trois demandes de dissémination expérimentale d'organismes génétiquement modifiés déposées par l'Université de Zurich et l'EPF de Zurich
Swiss Federal Department of the Environment approves applications by the University of Zurich and the ETH to sowed GM wheat experimentally in the spring at the Agricultural Research Institute of Zurich-Reckenholz

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Bern, Switzerland
February 7, 2008

Schweizerisches Bundesamt für Umwelt bewilligt drei Freisetzungsversuche mit gentechnisch veränderten Organismen der Universität Zürich und der ETH Zürich unter strengen Auflagen

Freisetzungsversuche in Zürich können beginnen

Das Bundesamt für Umwelt BAFU erachtet einen Grossteil der Auflagen vom 3. September 2007 betreffend die nachzuliefernden Unterlagen für die Freisetzungsversuche mit gentechnisch veränderten Organismen (GVO) als erfüllt. Für das Jahr 2008 steht der Aussaat eines Teils der Weizenlinien in Zürich aus Sicht des BAFU nichts mehr im Weg.

Am 3. September 2007 hat das Bundesamt für Umwelt BAFU drei Freisetzungsversuche mit gentechnisch veränderten Organismen der Universität Zürich und der ETH Zürich unter strengen Auflagen bewilligt. Unter anderem hatten die Gesuchsteller bis Ende 2007 Zeit, weitere Unterlagen einzureichen (Nachweis der Abwesenheit von Antibiotikaresistenz-Genen, Notfallkonzepte, genauere Angaben zu den Versuchsanordnungen). Diese Unterlagen sind fristgerecht und vollständig eingereicht und nun vom BAFU und den weiteren Fachstellen geprüft worden.

Nicht alle Weizenlinien erfüllen die Auflagen

In seinen Auflagen hatte das BAFU unter anderem von der ETH Zürich den experimentellen Nachweis der Abwesenheit von Antibiotikaresistenz-Genen in den zur Aussaat vorgesehenen transgenen Weizenlinien verlangt. Für zwei der drei betroffenen Linien (A9 und A13) konnte der Nachweis erbracht werden. Sie dürfen im Frühling ausgesät werden. Die Linie A5 wurde hingegen von den Gesuchstellern zurückgezogen, weil der notwendige Abwesenheitsnachweis nicht zweifelsfrei erbracht werden konnte. Die Bewilligung zu ihrer Freisetzung wird vom BAFU widerrufen.

Eine weitere Auflage des BAFU hatte den Freisetzungsversuch der Universität Zürich mit transgenem Weizen mit Pm3-Resistenzallelen betroffen. Das BAFU hatte für die Charakterisierung der zur Aussaat vorgesehenen Weizenlinien (Pm3a - Pm3g) zusätzliche Daten und Informationen verlangt. Diese liegen zum heutigen Zeitpunkt für drei der sieben Linien vor. Die drei vollständig dokumentierten Linien dürfen folglich wie vorgesehen im 2008 freigesetzt werden. Die Freisetzung der anderen vier Linien war von vornherein erst für 2009 bzw. 2010 vorgesehen, weshalb das BAFU die Frist zur Beibringung der Daten und Informationen zu deren Charakterisierung bis 31. Dezember 2008 verlängert hat.

Kein Verzicht auf Mantelsaat

Die Gesuchsteller beantragten neu einige Änderungen an den Sicherheitsauflagen des BAFU.

  • Sie möchten für die Mantelsaat, welche die Versuchsfelder umgibt, aus versuchstechnischen Gründen statt Weizen Gerste verwenden. Aus Sicht der biologischen Sicherheit spricht für das BAFU nichts gegen die Verwendung einer anderen Getreidesorte, wenn diese die gleiche Höhe wie der transgene Weizen hat und damit die Funktion als Pollenbarriere erfüllt. Diese Bedingung ist im Fall von Weizen und Gerste erfüllt.
  • Bei den zur Information der Öffentlichkeit vorgesehenen Demonstrationsfeldern möchten die Gesuchsteller auf eine Mantelsaat verzichten. Auf eine Mantelsaat als Pollenbarriere ist indes aus Gründen der biologischen Sicherheit nicht zu verzichten. Der Antrag wird darum abgewiesen.
  • Mit den Versuchen soll unter anderem die Biosicherheit transgener Pflanzen erforscht werden. Deshalb beantragen die Gesuchsteller, die nicht vermehrungsfähigen Stoppeln und Wurzeln der transgenen Pflanzen auf den Feldern belassen zu können. Müssten diese entfernt werden, wäre ein Teil der Versuche nicht möglich. Aus Sicht der biologischen Sicherheit kann dem Antrag stattgegeben werden, da in jedem Fall, selbst bei einem Entfernen der Stoppeln und Wurzeln, ein Teil des transgenen Erbmaterials im Boden zurückbliebe. Zudem würde der Erkenntnisgewinn für die Biosicherheit geschmälert, wenn ein wichtiger Untersuchungsgegenstand entfernt werden müsste. 

Notfallpläne müssen ergänzt werden

Schliesslich müssen für alle Freisetzungsversuche in Zürich-Reckenholz die vorgelegten Notfallpläne bis zum 29. Februar 2008 insbesondere betreffend die Telefonlisten komplettiert werden.

Standort Pully: Beschwerde hängig

In Zürich Reckenholz kann unter den genannten Auflagen mit der Aussaat gentechnisch veränderter Pflanzen begonnen werden. Für den zweiten von der ETH vorgesehenen Versuchsstandort in Pully (VD) hingegen ist weiterhin eine Beschwerde vor dem Bundesverwaltungsgericht hängig. Diese Beschwerde hat aufschiebende Wirkung, ein Versuchsstart ist frühestens nach einem Entscheid des Gerichts möglich. Das BAFU ist in diesem Fall nicht verfahrensleitende Instanz, gibt aber eine Stellungnahme an das Bundesverwaltungsgericht ab.


L'Office fédéral de l'environnement (OFEV) autorise, sous certaines conditions très strictes, trois demandes de dissémination expérimentale d'organismes génétiquement modifiés déposées par l'Université de Zurich et l'EPF de Zurich

Les disséminations expérimentales peuvent commencer à Zurich

L'Office fédéral de l'environnement (OFEV) considère que les conditions qu'il avait posées le 3 septembre 2007 sont en grande partie remplies et que les documents complémentaires concernant les disséminations expérimentales d'organismes génétiquement modifiés (OGM) ont été remis. Une partie des lignées de blé pourra donc être ensemencée à Zurich en 2008.

Le 3 septembre 2007, l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) a autorisé, sous certaines conditions très strictes, trois demandes de dissémination expérimentale d'organismes génétiquement modifiés déposées par l'Université de Zurich et l'EPF de Zurich. Les requérants disposaient d'un délai à fin 2007 pour fournir des documents complémentaires (preuve que les plantes ne contiennent pas de gènes résistant aux antibiotiques, plans d'urgence, procédés expérimentaux détaillés). Ces documents ont été remis dans les délais et examinés par l'OFEV et les autres services spécialisés.

Toutes les lignées de blé ne remplissent pas les conditions

Une des conditions posées par l'OFEV à l'EPF de Zurich était d'apporter la preuve expérimentale que les lignées de blé utilisées pour l'essai ne contiennent pas de gènes résistant aux antibiotiques. Cette preuve a pu être apportée pour deux lignées (A9 et A13), qui pourront donc être ensemencées au printemps 2008. Par contre, le requérant a retiré la lignée A5 parce qu'il n'était pas en mesure d'apporter cette preuve dans les délais. L'OFEV a donc révoqué l'autorisation de disséminer.

L'OFEV a également posé une condition à l'essai de dissémination de lignées de blé transgéniques contenant des allèles du gène Pm3 prévue par l'Université de Zurich en exigeant des données complémentaires concernant toutes les lignées de blé prévues pour l'essai (Pm3a - Pm3g). Ces données ont été fournies à ce jour pour trois des sept lignées. Les trois lignées dont la documentation est complète pourront donc être ensemencées comme prévu en 2008. Comme la dissémination des quatre autres lignées était de toute façon prévue pour 2009 ou 2010, l'OFEV a prolongé le délai de remise des données complémentaires au 31 décembre 2008.

Le semis de couverture est maintenu dans tous les cas

Les requérants ont demandé des modifications des exigences de l'OFEV sur la sécurité.

  • Les requérants souhaitaient, pour des raisons techniques, utiliser de l'orge plutôt que du blé pour le semis de couverture entourant les champs dans lesquels les disséminations auront lieu. Du point de vue de la sécurité biologique, l'OFEV n'a pas d'objection à ce qu'un autre type de céréale soit utilisé, pour autant que celle-ci soit de la même hauteur que le blé transgénique et puisse ainsi assumer le rôle de barrière de pollen. Cette condition est remplie par le blé et par l'orge.
  • Les requérants voulaient renoncer à un semis de couverture pour les champs de démonstration prévus pour l'information du public. Du point de vue de la sécurité biologique, il n'est pas possible de renoncer à un semis de couverture en tant que barrière de pollen. La demande est par conséquent rejetée.
  • Les essais visent notamment à étudier la sécurité biologique des plantes transgéniques. Les requérants demandaient donc à pouvoir laisser les éteules (la paille) et les racines revivifiables des plantes transgéniques dans les champs. S'ils devaient être déplacés, une partie de l'essai ne pourrait être réalisée. Du point de vue de la sécurité biologique, la demande peut être acceptée, car une partie de matériel génétique transgénique reste dans les champs quoi qu'il arrive, même si les éteules et les racines sont enlevées. En outre, si un important objet d'étude devait être retiré, le gain de connaissances pour la sécurité biologique s'en trouverait réduit. 

Les plans d'urgence doivent être complétés

Les plans d'urgence présentés pour tous les essais de dissémination expérimentale à Zurich Reckenholz doivent être complétés d'ici au 29 février 2008, notamment en ce qui concerne les listes téléphoniques.

Dissémination à Pully: recours pendant

A Zurich Reckenholz, l'ensemencement de plantes génétiquement modifiées peut débuter aux conditions prévues. Pour ce qui est de Pully, le second emplacement prévu par l'EPF de Zurich, la dissémination expérimentale fait l'objet d'un recours qui n'est pas encore jugé. Ce recours a un effet suspensif. Rien ne pourra donc être semé à Pully avant que le Tribunal administratif fédéral rende sa décision. L'OFEV n'est pas chargé de la procédure, mais rédige une prise de position à l'attention du Tribunal administratif fédéral.
 

Switzerland grants permission to sow GM wheat in Zurich
Source: Checkbiotech
Translated by Mark Inglin

Genetically modified wheat can be sowed experimentally in the spring at the Agricultural Research Institute of Zurich-Reckenholz.
The Swiss Federal Department of the Environment (Bundesamt fuer Umwelt – “BAFU”) has approved applications by the University of Zurich and the ETH (Swiss Federal Institute of Technology).

As reported by BAFU, researchers have provided the required evidence that antibiotic-resistance genes are not found in the two varieties of wheat. In addition, emergency planning has been completed.

The applications made by the University of Zurich pertain to the investigation of wheat plants with increased specific resistance to powdery mildew fungal disease as well as to crosses of wheat with the wild grass, Aegilops cylindrica. The ETH wants to experimentally plant wheat with increased fungal resistance.

BAFU conditionally approved the application on September 3, 2007. Requirements included, among others, providing details of the experimental arrangement and proof that the plants contain no antibiotic-resistance genes. The results of preliminary experiments at the vegetation center in Reckenholz must be presented.

Under these conditions, the sowing of genetically engineered wheat can start at Zurich-Reckenholz. The BAFU decision is a particularly bitter pill for Greenpeace to swallow. The environmental organization has given notice of a supervisory grievance.

Greenpeace leveled the criticism that, "We only know a part of what they are approving. The approval that BAFU has now definitely granted is based on information that is incomplete. ‘Important data’ were missing when the application was submitted this past May.”

Greenpeace has received support from the Small Farmers Association. In a communiqué, it has signed on to the supervisory grievance. Also dissatisfied with the decision are Bio Suisse and Pro Natura. Whether they will initiate legal measures is, however, still uncertain.

The release of genetically enhanced organisms is subject to stringent conditions. The research is being permitted, despite a five-year moratorium placed on genetic modification that was approved on November 27, 2005 by the Swiss general public. (sda)

Copyright Checkbiotech 2008

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Gesuchsteller reichen fristgerecht zusätzliche Informationen nach


Les requérants fournissent les informations supplémentaires demandées
 

 

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