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La fédération nationale de la production des semences de maïs et de sorgho (FNPSMS) finance la recherche sur une maladie orpheline, le syndrome néphrotique

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Paris, France
October 16, 2008

La fédération nationale de la production des semences de maïs et de sorgho (FNPSMS) - organisation interprofessionnelle composée des agriculteurs multiplicateurs réunis au sein d'AGPM Maïs semence (section spécialisée de l'AGPM) et des entreprises semencières réunies au sein de Seproma - soutient la recherche sur le syndrome néphrotique ; une maladie des reins et du système immunitaire.

Comme annoncé à l'occasion des journées maïs de Pau, les 16 et 17 septembre derniers, la FNPSMS a signé le 10 octobre 2008 une convention de partenariat de recherche avec l'Association des Malades du Syndrome Néphrotique (AMSN) et le Docteur Dil Sahali du laboratoire de recherche INSERM de l'hôpital Henri Mondor. Son objectif est de soutenir des recherches en biotechnologie au service du progrès médical.

Une maladie orpheline mais pas rare

Le syndrome néphrotique touche de nombreux enfants à partir de l'âge de 2 ans. 10 000 patients en souffrent tout au long de leur vie, avec des traitements aux corticoïdes, entraînant de lourds effets secondaires.
Cette maladie orpheline, reconnue par l'État comme l'une des 30 affections de longue durée, n'est pas une maladie rare, loin de là. Sa prévalence (fréquence d'apparition) est de 18 / 100 000 personnes en France, à comparer avec 5,3 pour la maladie d'Alzheimer dans sa forme familiale, 7,7 pour l'hémophilie et 12 pour la mucoviscidose. Elle est pourtant méconnue et ne bénéficie que de peu de moyens : quelques dizaines de milliers d'euros par an seulement.

Les biotechnologies porteuses d'espoir

Malgré ces moyens modestes, il y a eu beaucoup de progrès récents dans la connaissance de cette maladie grâce à l'isolement de gènes impliqués. Pour aller plus loin, l'équipe du professeur Dil Sahali, coordinateur de la recherche dans ce domaine, a notamment besoin de nouvelles lignées de souris transgéniques pour aboutir à une meilleure connaissance du gène impliqué dans la maladie, ce qui permettra aux traitements de progresser.
La FNPSMS a souhaité apporter sa pierre à ces recherches en attribuant une contribution de 40 000 € à ces travaux.

Bernard Delsuc, Président de la FNPSMS, résume ainsi la volonté de s'impliquer dans cette action qui témoigne d'une conviction profonde : « Les biotechnologies, qu'elles soient animales ou végétales, sont un vecteur de progrès incontestable. Nous sommes heureux de contribuer à les rendre accessibles en médecine et souhaiterions d'ailleurs y avoir davantage accès en agriculture. »

 

 

 

 

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